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A
actinides:La série chimique des actinides comprend les éléments chimiques du tableau de Mendeleïev se situant entre l’actinium et le lawrencium et possédant un numéro atomique (nombre de prtons du noyau) compris entre 89 et 103. Ce sont des éléments radioactifs. Certains actinides comme l’uranium et le thorium existent naturellement, d’autres comme le plutonium (qui existe naturellement en quantités infinitésimales), l’américium ou le neptunium sont des éléments artificiels obtenus lors des réactions nucléaires.
actinides majeurs :noyaux lourds d’uranium et de plutonium présents ou formés dans le combustible nucléaire. (en vert : est-ce utile ?)
actinides mineurs :noyaux lourds formés en relativement faibles quantités dans un réacteur par captures successives de neutrons à partir des noyaux du combustible nucléaire irradié. Ces isotopes à vie longue sont principalement le neptunium (237), l’américium (241, 243) et le curium (243, 244, 245).
aiguë: Se dit d’une exposition reçue pendant une période de temps courte. Opposé à chronique.
anion :ion chargé négativement par capture ou gain d’un ou plusieurs électrons.
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B
becquerel (Bq) : unité d’activitéexprimant le nombre de transitions nucléaires (désintégrations) que subit un radionucléidepar seconde.
biocinétique :étude de la distribution (biodistribution), de la rétention et de l’excrétion d’une substance dans un organisme vivant.
biodisponibilité: fraction de la quantité totale ou de la concentration d’une espèce chimique dans l’environnement (ou dans un organisme) potentiellement disponible pour une accumulation dans un organisme vivant (ou dans un organe). Une substance chimique est dite biodisponible si elle se présente sous une forme qui peut être assimilée ou absorbée par les végétaux et les animaux.
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C
cancérigène, cancérogène, carcinogène : un agent chimique ou physique est dit cancérigène cancérogène ou carcinogènelorsqu'une exposition à cet agent entraîne une augmentation de l'incidence de cancers.
cancérogénèse : ensemble des étapes conduisant à l'apparition d'un cancer
cation :ion chargé positivement par perte d?un ou de plusieurs électrons.
chaîne radioactive (ou de désintégration) d'un élément: succession des différents éléments apparaissant par transformation spontanée d'un noyau instable, au cours du temps. Cette chaîne se termine par un élément stable(nonradioactif).
chélater (du grec khêlê : « pince ») : selon l?IUPAC (International Union for Pure and Applied Chemistry) former une liaison (ou autres interactions électrostatiques) entre au moins deux sites de coordination distincts d?un même ligand et un seul atome central (ion métallique). Par exemple les ions de cobalt dans la vitamine B12, de magnésium dans la chlorophylle, de cuivre dans l'hémocyanine ou de fer dans l'hémoglobine sont chélatés.
chélateur:selon l?IUPAC (International Union for Pure and Applied Chemistry) molécule possédant des groupes ligands capable de former des liaisons (ou autres interactions électrostatiques) entre au moins deux sites de coordination distincts d?un même groupe ligand et un seul atome.
chimiotoxicité : capacité d?une substance chimique incorporée à entraîner des effets nocifs pour l?organisme. La chimiotoxicité est liée à la dose de la substance exprimée en quantité, et fonction de sa concentration et du temps d?exposition ou d?incorporation.
chronique: se dit d?une exposition prolongée, d?une durée significative par rapport à la durée de vie de l?organisme étudié. Généralement associé à la notion d?exposition continue à une faible concentration de polluant.
CIPR : Commission Internationale de Protection Radiologique, www.icrp.org.
complexation:formation d?un édifice polyatomique (ou complexe)neutre ou chargé, constitué par un ion ou un atome central autour duquel sont coordonnés des atomes, des ions ou des molécules ligands.
conditions redox :abbréviation de réd(ucteur) ox(ydant). Un processus de réduction correspond à un gain d?électrons ; un processus d?oxydation correspond à une perte d?électrons. L?oxydant : c?est l?accepteur d?électrons ; le réducteur : c?est le donneur d?électrons.
contamination interne : incorporation par inhalation ou par ingestion de radionucléides distribués dans les différents organes selon une biocinétique qui leur est propre, et délivrant une dose à l?ensemble des organes tant que dure leur présence dans l?organisme.
covalent : qui participe à la liaison chimique de deux atomes par la mise en commun d'électrons.
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D
Décorporation (JO 2009) : traitement visant à éliminer de l’organisme, au moyen d’une substance chimique, des éléments radioactifs ou toxiques qui ont été incorporés.
DL50 : la dose létale 50 est la mesure standardisée d’expression et de comparaison de la toxicité, en particulier des substances chimiques. C’est la dose, exprimée le plus souvent en mg de cette substance par kg de poids corporel (mg/kg) ou en parties par million (ppm ) qui tue la moitié des sujets (ou des cellules) exposés dans un temps donné.
dose absorbée: quantité d’énergie absorbée par unité de masse de matière. C’est une grandeur directement mesurable, qui s’exprime en Gray (Gy). Par définition, 1 Gy = 1J.kg-1.
dose d’une substance (IUPAC): quantité totale de la substance étudiée administrée, incorporée ou absorbée par un organisme, un organe, un tissu, pendant un temps donné. L’unité de base est la mole ou une unité de masse comme le gramme.
dose de rayonnement (IUPAC):énergie ou quantité de photons absorbée par un objet irradié pendant un temps d'exposition donné et rapportée à une surface ou un volume. Elle correspond à la dose absorbée et s'exprime en joules/kg ou grays. La dose équivalente pondérée pour un organe et la dose efficace pour le corps entier sont exprimées en sieverts et prennent en compte le type de rayonnement. La dose efficace prend en compte la radiosensibilité des tissus.
dosimétrie :théorie et application des principes et des techniques de mesure ou d’estimation des doses (absorbée ou équivalente) de rayonnements ionisants reçues ou susceptibles de l’être.
DPUI ou Dose par unité d’incorporation (Sv/Bq) : valeurs de coefficients de dose recommandées par la CIPR pour l’inhalation et l’ingestion du public et des travailleurs
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E
élément : atome défini par le nombre de ses électrons (numéro atomique).
éléments en traces: éléments naturellement présents en très faibles concentrations dans un milieu physique ou biologique.
exposition aiguë :exposition reçue pendant une brève durée de temps. S'oppose à exposition chronique.
exposition chronique :exposition reçue pendant une durée de temps longue ou très longue. S'oppose à exposition aiguë.
exposition externe :voie d'atteinte liée aux radionucléides présents dans les milieux de vie et émettant des rayonnements pouvant atteindre l'organisme.
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F
facteur de dose : coefficient permettant de calculer une dose délivrée à l'homme (en sievert) correspondant à l'ingestion ou à l'inhalation d'une activité de 1 becquerel d'un radionucléide donné
fA ou facteur d’ingestion de la CIPR 100 : fraction oupourcentage d’activité d’un radionucléide absorbée du tractus intestinale vers le sang .
facteur de transfert : rapport de concentration à l’équilibred’un radionucléidedans deux compartiments de la biosphèreou d'un organisme, par exemple entre une plante (ou une partie de la plante), et dans le sol environnant ou entre le tractus digestif et le sang.
force ionique :somme des concentrations de toutes les espèces ioniques présentes dans une solution
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G
granulométrie : mesure des dimensions et détermination de la forme des particules ou des grains des produits pulvérulents.
gray : unité de doseabsorbée: 1 gray (Gy) correspond à une énergie absorbée de 1 joule par kilogramme de matière irradiée.
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H
halogènes : éléments chimiques du groupe VII de la classification périodique (chlore, brome, iode, fluor, astate). Ces éléments - formant facilement des sels (halos = sel) avec les métaux, ont des propriétés particulières, notamment en ce qui concerne l'éclairage, la photoluminescence et le blanchiment.
hydrolyse:décomposition d'une espèce chimique (molécule ou ion) par l'eau.
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I
incorporation :c.f. décorporation
isotope:ensemble de formes d’un même élément chimique dont les noyaux possèdent un nombre de protons et un nombre d’électrons identiques mais un nombre de neutrons différent. Un isotope peut être stable ou radioactif.
IUPAC:International Union for Pure and Applied Chemistry
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L
lanthanide:la série chimique des lanthanides est composée des métaux de transition situés entre les éléments de numéros atomiques 57 (lanthane) à 71 (lutétium) inclus.
ligand :molécule ou ion lié à l’atome central d’un complexe
LOAEL: Lowest Observable Adverse Effect Level
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M
métabolisme : ensemble des processus chimiques, synthèse de constituants et dégradation de composés, qui se produisent dans les organismes vivants et dans chaque cellule.
métalloïdes : dans la classification périodique deséléments, ancienne dénomination desnon-métaux, catégorie qui regroupe l'ensemble des corps simples non métalliques.
métauxalcalino-terreux : groupe II A dans la classification périodique des éléments, formé du béryllium, du magnésium, du calcium, du strontium, du baryumet du radium. Très électropositifs, ce sont des métaux légers et mous donnant avec l'eau des bases solubles (magnésie hydratée, chaux éteinte, hydroxyde de baryum), de formule X(OH)2, où X représente un élément des alcalino-terreux. Ces éléments ne se trouvent jamais sous forme métallique libre dans la nature, car, comme les alcalins, ce sont des réducteurs très réactifs et ils réagissent aisément avec de nombreux non-métaux.
métaux alcalins : métaux appartenant au groupe I de la classification périodique des éléments.
métaux de transition : sont strictement définis par l'IUPACcomme « les éléments qui possèdent à l'état atomique une sous-couche d partiellement remplie ou qui forment au moins un ion avec une sous-couche d partiellement remplie »(e.g. le fer, le manganèse et le platine), ce qui exclut les éléments du groupe 12 (Zn, Cd, Hg). Une définition moins stricte est habituellement adoptée dans laquelle le terme transition se réfère au passage entre le groupe 2 (anciennement IIA) et le groupe 13 (anciennement IIIA) du tableau périodique.
métaux lourds :dénomination utilisée par abus de langage (IUPAC) ne reposant pas sur des fondements scientifiques. Souvent associé à des méraux dont la densité est supérieure à 4,5 g/cm3.
mutagénèse:création de mutations dans le génome de la descendance d'un organisme par exposition de l'ADN à un agent chimique, à un agent physique (e.g. des rayonnements g), à un virus intégratif ou à un élément transposable.
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N
NCRP : National Council on Radiation Protection and Measurements (USA).
NEA : Nuclear Energy Agency. Agence de l’OCDE.
NOAEL: No Observed Adverse effect Level
nucléide :espèce nucléaire caractérisée par son nombre de masse A (somme du nombre de neutrons N et du nombre de protons Z) et son numéro atomique (nombre de protons Z)
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O
OCDE : Organisation pour la Coopération et le Développement Economiques.
oxydation:réaction chimique consistant en la perte d'un ou plusieurs électrons par un ion ou une molécule, parfois accompagnée d'une perte de protons (H+).
oxydant : qui fait perdre des électrons à un atome ou à un ion ; oxydation : réaction dans laquelle un atome ou un ion perd des électrons (cf. état d’oxydation).
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P
période biologique:temps à l'issue duquel la moitié de la masse d'une substance a été éliminée de l'organisme par des processus uniquement physiologiques.
période effective : pour un radionucléide donné, la période effective (Te) est fonction de la période radioactive ouphysique (Tp) et de la période biologique (Tb) selon la formule 1/Te = 1/Tp + 1/Tb. C'est donc le temps nécessaire pour que la radioactivité spécifique des molécules d’une population donnée ait diminué de moitié après correction de la décroissance radioactive du radionucléide.
période radioactiveou physique: temps nécessaire pour la désintégration de la moitié des atomes d'un échantillon de nucléide radioactif.
potentiel redox: mesure de l’affinité d’une molécule pour les électrons.
produits d'activation : cf. activation
produits de fission : nucléidesgénérés soit directement par la fission nucléaire, soit indirectement par la désintégration des fragments de la fission.
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R
radioactivité : les éléments radioactifs ou radionucléides, sont instables du fait de leur nombre de nucléons (protons ou neutrons) ou de leur état énergétique. Leur désintégration s’accompagne de l’émission d’un ou plusieurs types de rayonnements ionisants et/ou de particules, parmi lesquels les rayonnements alpha, bêta, gamma, X et les neutrons. Les rayonnements dits ionisants sont suffisamment énergétiques pour ioniser les atomes de la matière traversée en leur arrachant des électrons.
radioélément : au sens propreélément dont tous les isotopes sont radioactifs.
radioisotope : isotope radioactifd’un élémentchimique.
radiolyse :décomposition de matière par des rayonnements ionisants.
radionucléide : isotope radioactif, appelé aussi parfois radioisotope, d'un élément.
radioprotection :ensemble des méthodes et des moyens utilisés pour le protection des personnes contre les rayonnements ionisants.
radiotoxicité :capacité d’une substance radioactive incorporée à entraîner des effets nocifs (ou toxiques) pour l’organisme. La radiotoxicité est reliée à la dose du radioélément ou de l’isotope radioactif exprimée en quantité d’énergie absorbée par unité de masse de matière (exprimé en gray avec 1 Gy=1 J/kg).
radiotoxicité potentielle (dans le sens d'inventaire radiotoxique): produit de l'activité d'une certaine quantité de radionucléides par des facteurs de dose ingestion. C’est donc la dose reçue par un ensemble de personnes qui auraient incorporé cette quantité de matière.
radon : radioélémentnaturel, produit de désintégration des chaines de l’uranium (isotopes : Rn220et Rn 222), le radon est émis sous forme gazeuse à partir des roches granitiques riches et des matériaux de construction associés.
rayonnements α, β et γ : emissions corpusculaires et ondulatoires d’énergie. Les rayons asont constitués par des noyaux d’hélium ionisés. Les rayons bcorrespondent à des électrons. Les rayons gsont des rayonnements électromagnétiques de très haute énergie et de plus faible longueur d’onde que les rayons X.
redox : cf.conditions redox
relation dose-effet ou dose-réponse :relation entre la dose d’exposition et l’intensité de la réponse observée qui s’exprime par une fonction mathématique. La relation dose-effet est en général exprimée en pourcentage de variation par rapport à l’intensité de réponse observée chez le groupe témoin (non exposé).
réducteur : qui donne des électrons à un atome ou à un ion.
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S
sievert (Sv) : unité utilisée en radioprotection pour déterminer selon les cas la dose équivalenteou la dose efficace.
Spéciation (IUPAC) : selon les recommandations de l’IUPAC une « espèce chimique » ou « spéciation » d’un élément est une « forme spécifique d’un élément, définie par sa composition isotopique, son état électronique ou état d’oxydation et/ou sa structure complexe ou moléculaire » (Templeton et al., 2000).
Spéciation (CST chimie) : caractérisation des espèces chimiques sous la forme desqueslles un élément se trouve présent dans une substance et plus généralement dans un environnement donné. La spéciation d’un élément ou d’une molécule est indispensable pour évaluer son éventuelle toxicité. En biogéochimie, deux définitions prédominent : la spéciation chimique, de nature statique, qui vise l'identification et la quantification des espèces chimiques et la spéciation chimique en milieu biologique, de nature dynamique, qui examine l' "histoire" de l'espèce chimique au cours de son trajet et de ses transformations dans le cycle biogéochimique ou métabolique. Eric je te laisse faire la synthèse
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T
terres rares : cf.lanthanides
toxicité : Propriété d’une substance chimique introduite dans un organisme, d’engendrer temporairement ou durablement des troubles de certaines fonctions à l’un ou l’autre des niveaux d’organisation du vivant. La toxicité d’un élément est en général associée aux conditions d’exposition incluant la voie d’administration ou d’absorption, sa durée (chronique ou fractionnée) et la dose (unique ou fractionnée). Pour un organisme dont l’espèce et l’état physiologique sont connus, elle est décrite par la nature et la sévérité des dommages engendrés et le temps nécessaire pour conduire à ces dommages. Ceux-ci peuvent affecter différentes cibles : membranes, organites cellulaires, noyau, tissus, organes.
transuraniens :tous les éléments dont le numéro atomique (Z) est supérieur à celui de l'uranium (92). En réacteur, noyaux lourds issus de l'uranium par capture neutronique ou désintégrations radioactives autres que la fission qui se répartissent en sept familles d'isotopes : uranium, neptunium, plutonium, américium, curium, berkélium et californium.
trophique (voie): qualifie tout ce qui concerne la circulation de la matière et de l’énergie lors d’une relation de type alimentaire entre une proie et un prédateur.
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U
UNSCEAR: United Nations Scientific Committee on the Effects of Atomic Radiation.
US DOE: United States Department of Energy.
USEPA : United States Environmental Protection Agency.
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V
valence :nombre de liaisons qu’un atome peut former. L’atome est monovalent s’il peut former une liaison, divalents’il peut en former deux, trivalent s’il peut en former trois, etc.
voies de transfert : voies physico-chimiques, biochimiques et biologiques par lesquelles des substances présentes dans l'environnement parviennent jusqu'à l'homme, notamment par l'intermédiaire de la chaîne alimentaire.
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